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Travaux en cours

6 octobre 2008

Déménagement

Non, je ne vous ferai pas le coup classique du "J'ai décidé de fermer ce blog".

Désormais, je suis tout simplement ....

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3 octobre 2008

Conversation avec un inconnu

Ce blog a déménagé et se trouve désormais à l'adresse suivante : Du Soleil au Coeur

L'article ci-dessous peut dorénavant être lu et commenté sur la page "Conversation avec un inconnu".

La catégorie "Objections" reste visible sur ce lien : http://dusoleilaucoeur.fr/categorie/objection/ et traite de divers "coups de gueule" ou protestations.

Voici l'article original :


J'ai eu il y a quelques jours une première expérience avec un inconnu.
Je ne fais pas partie des expertes en la matière, celles à qui cela arrive tous les jours comme mon amie Nath, qui s'est fait maintes fois solliciter de cette manière. Je ne fais pas non plus partie des hommes qui en deviennent les victimes et se plaignent ensuite de harcèlement sexuel.

Non, c'était la première fois qu'un inconnu m'ajoutait à sa liste de contacts. Ma toute première perle du chat, en somme.

Il s'agissait d'une adresse que je n'utilise maintenant qu'exceptionnellement, surtout s'agissant du chat (en pratique, quand j'ai besoin de me connecter à Yahoo Messenger au lieu de MSN). J'en reparle plus bas.

J'ai donc été très surprise de voir une demande de contact apparaître à l'ouverture du logiciel que je n'avais pas utilisé depuis des mois. Pour autant que je sache, d'ailleurs, cette requête pouvait être, du coup, relativement ancienne !

Donnant à l'inconnu(e) (que nous mettrons désormais au masculin pour plus de facilité) le bénéfice du doute, je l'ai ajouté à ma liste.

Un court moment plus tard, il apparaissait connecté et s'adressait ainsi à moi :

Lui : Bonsoir

Moi : Bonsoir

Lui : dites moi j ai un doute. a qui ai je l honneur ?

Là, je l'ai trouvé gonflé, mon inconnu. Lorsqu'on demande à entrer en contact avec quelqu'un, la moindre des choses est tout de même de se présenter, pas de demander à la personne qui elle est. La demande pouvait certes dater un peu, mais il aurait dû être facile à cette personne d'avoir une idée de qui j'étais, en cherchant un tout petit instant. Sauf envoi en masse de demande de contact, bien sûr.

Or, non seulement ça n'a pas été le cas, mais il n'a pas daigné donner, au cours de la conversation qui suit, le moindre commencement d'information sur lui.

Non, mais vous imaginez, vous, quelqu'un qui vous aborde dans la rue en vous demandant sans aménités : "Vous êtes qui, vous?".

Certes, ma première réaction a été moyennement amène, face à ce coup porté à mon narcissisme ce manquement à l'étiquette.

Moi : C'est plutôt moi qui pourrais vous poser la question ? Vous avez demandé à être ajouté à mes contacts.

Lui : justement je ne vous ai jamais vu connecter du coup je ne me souviens plus ou j aurais pu avoir votre msn

Moi (un peu agacée) : Je suis en effet exceptionnellement connectée ainsi. Ce n'est pas mon msn.

C'est vrai, ça, c'est pas "mon msn".

Lui : vous un monsieur ou une madamrs ca m aiderait peut etre

Fichtre, voilà que la grammaire devient franchement hasardeuse. Et puis, je vois pointer l'amorce d'un petit jeu débile de devinettes, ou de jeu du portrait : "La personne à qui je parle actuellement est-elle une  madame? Vit-elle dans une ville ? Est-elle célèbre?" Aurais-je affaire à Akinator ? Ha ha, jeune homme, vous allez voir à qui vous avez affaire. Introduction d'un brin de sarcasme dans ma réponse.

Moi : Ca promet d'être amusant. Moi être une madame.

Lui : pk dites vous ca promet

Crévindiou. Il ne comprend pas le sarcasme.
J'ai vraiment affaire à un cas. Je ne relève pas la question et me contente de demander des nouvelles sur son processus de remémoration :

Moi : Alors, ça vous aide ?

Lui : non pas vraiment lol

Un lolien en plus. Il devrait être fort embarrassé de son malotruisme, et il lolle. Il commence à me plaire, celui-là.

Lui : auriez vous un blog une photo la ca m aiderait

C'est cela, oui. Il ne me connaît pas, mais il pourrait me reconnaître en photo. Mais bien sûr. Et la bloggeuse, elle emballe les cams chaudes dans du papier alu.

Je décide de tester l'hypothèse que j'ai à ce stade : je pensais que notre quidam était tombé sur mon blog, avait tenté de me contacter, récupéré mon adresse au passage, et décidé de me contacter directement par chat, au lieu de se fatiguer à écrire un mail. Aujourd'hui, je me suis rendue compte que ce n'était pas possible, puisque mon adresse n'apparaît pas dans le formulaire de contact, mais ça a donné ça :

Moi : Vous devez me connaître par mon blog alors. A qui ai-je l'honneur?

Lui (ignorant délibérément la question) : ah voila certainement la reponse. quel est l adresse de ce blog que j aille me rememorer

Là, je commence à être franchement irritée. Je lance le fond de ma pensée :

Moi : Bon, écoutez. Si vous ne vous souvenez pas avoir cherché à me joindre et que je ne sais pas qui vous êtes, je ne vois pas bien l'intérêt de poursuivre cette conversation...

Là, il avait intérêt à être convaincant dans sa réponse. Il a été juste au dessus du minimum requis, "au ras des pâquerettes", comme l'a si bien énoncé mon examinateur le jour du permis de conduire .


Lui (obstiné) : pouvez vous me donner l adresse de votre blog. si je vous ai ajoute a mes contact c est dans le but de vous poser une question en rapport

Moi (mode "bénéfice du doute, soyons simple et candide" on) : Bien, ça me paraît sensé [j'ai donné le lien]... mais vous auriez très bien pu m'écrire ?

Lui : oui tout a fait

Il ne serait pas en mode "foutage de tronche" ? J'aurais pu, mais je ne l'ai pas fait. Pourquoi? Mystère et boule de gomme. J'en rajoute une couche (bien inutile, évidemment) :

Moi : Je ne consulte pas très souvent cette boîte aux lettres mais j'aurais fini par vous lire, alors que le contact ici est plus que hasardeux.

Lui : c est clair a tout hazard voyez vous mon image de profil

Moi : Non

Lui : je me disais aussi

Il doit y avoir un truc sous cette question, mais j'avoue que ça me dépasse. Je l'aurais reconnu ? Ou bien sur le profil en question, c'est une photo de Brad Pitt et je serais censée être plus aimable ?

En tout cas, après cette ultime vérification (?), plus rien. La question existentielle qu'il brûlait de me poser en m'ajoutant à ses contacts avait dû s'envoler comme par magie.

Vu la muflerie, et sans doute aussi la fausseté et le mensonge, du personnage, il n'y a pas de regret à avoir.

Curieuse, j'ai été vérifier son IP dans la liste des visiteurs de mon blog (c'était facile. C'était vraiment le désert ce soir là, côté visites). Je n'ai pas été bien avancée : si tant est que c'est effectivement lui qui m'a rendu visite, il n'a pas consulté plus d'une page et habite dans une ville où je ne connais personne.

Là où je me pose des questions, c'est que je ne sais pas comment cette personne a obtenu mon adresse. Il s'agit de l'adresse que j'utilise pour ce blog, mais qui n'apparaît donc pas sur ces pages (je croyais le contraire en commençant la conversation). Je l'avais aussi utilisée il y a quelques années pour former un groupe de mamans qui n'a pas franchement perduré sous cette forme, mais je ne vois pas pourquoi quelqu'un l'aurait utilisée si tardivement. Si l'on en croit Gougeule, l'adresse n'est nulle part sur Internet. La dernière fois que j'ai utilisé l'adresse, c'était pour me plaindre d'un plagiat, mais je ne vois pas pourquoi ça aurait pu donner envie à quelqu'un de me parler en direct. Alors non, je ne vois pas trop. Un mailing de demandes de contact, ça peut s'imaginer (même si je n'en vois pas bien l'intérêt) mais où a t'il pêché celle-ci ?

Quelqu'un aurait une idée pour éclaircir ce mystère ?

1 octobre 2008

Des modes d'emploi

Il arrive qu'un gadget électronique soit magnifique mais trop compliqué à utiliser.

Elle est arrivée dans une magnifique boîte cartonnée noire, qui rappelait plus un écrin qu'un emballage industriel.

J'ai ouvert avec précaution, et l'ai découverte, logée au sommet de la boîte dans un étui moulé à sa forme, protégée par une chape de plastique transparent qui suivait également son contour.

Une impression générale de classe, de sobriété, de technicité.  On aurait dit un Iphone 4G++. Tous les accessoires bassement matériels (chargeur, étui satiné, mode d'emploi) étaient planqués sous la couche cartonnée qui servait d'étui, et j'ai donc pu découvrir mon jouet dans toute son appétissante splendeur. Ses courbes étaient douces et rosées.

Oui, ce mélange de technicité et de douceur donnait envie de l'essayer, la Gigi de Lelo. la_boite

Le mode d'emploi précisait qu'elle (oui, Gigi est une fille, du moins dans le mode d'emploi en anglais, comme un navire, une voiture, un animal domestique ou "certaines entités métaphysiques susceptibles d’inspirer de forts sentiments ") était pleine de promesses. Elle saurait trouver mon point G en deux coups de cuiller à pot, en m'offrant la variété de cinq modes différents (différentes variétés de vibration, et même un mode "vague" où l'intensité du mouvement varie en continu du plus intense au moins intense) et en me laissant choisir moi-même la vigueur des frissons qui la parcoureraient (touche de gauche : moins fort, touche de droite : plus fort. Le plus demeuré des utilisateurs de chaîne audio s'y serait retrouvé).

Je l'ai laissée se charger, faisant clignoter son petit cadran rond (quand la lumière devient fixe, c'est que Gigi est prête).

Gigiii, il s'appelle Gigiii, je suis folle de luiiiii, c'est un joueeet pas comme les auuutres..." Ce qui devait arriver arriva. Je suis passée aux essais pratiques.

L'expérience n'était pas désagréable, loin de là, mais... comment dire ?  Pas tout à fait à la hauteur. On aurait dit que Gigi était un peu à côté de la plaque dans son mode d'action. Incroyablement relaxante, la Gigi, de la manière dont un massage peut être très délassant. Mais pas beaucoup plus. Oui, si l'on y pense, j'ai dû avoir droit à quelque chose comme un massage du périnée, de l'intérieur. Voilà.

Il arrive qu'un gadget électronique soit magnifique mais trop compliqué à utiliser. C'est le contraire qui m'est arrivé. C'est mon jouet qui ne connaît pas mon mode d'emploi.
(Ou alors je manque de pratique. Ne désespérons pas. "Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage. Polissez le sans cesse et le repolissez"... mais je m'égare)

Navrant, non !

29 septembre 2008

...Et le désir s'accroît quand l'effet se recule

Ce blog a déménagé et s'appelle maintenant Du Soleil au Coeur.

Cet article peut désormais être lu et commenté sur la page "... et le désir s'accroît quand l'effet se recule".

Je parle du Gigi de Lelo à trois reprises : vous trouverez dans la catégorie "Joujoux et doudous", qui parle de divers gadgets électroniques ou non, le début de l'histoire du Gigi de Lelo, l'attente du Gigi de Lelo et le compte-rendu sur le Gigi de Lelo.

Voici l'article original :


Quand on est en attente d'une gâterie sexuelle, il est toujours agréable de savoir que votre interlocutrice pense à vous en vous donnant une idée du jour où vous serez enfin comblée. C'est ainsi que j'ai été reconnaissante à Ana de m'indiquer le numéro de colis qu'un professionnel du transport avait assigné à mon jouet.

Je pouvais donc suivre au jour le jour la progression de mon petit paquet.futur_metro_shanghai_2010

Au début, tout s'est bien passé. Lelo étant une société suédoise, j'ai été un peu surprise de voir apparaître dans la progression du colis des informations de Cologne, en Allemagne, mais je pense qu'il ne s'agissait peut-être que de saisies informatiques centralisées. Peu importe.

Là où j'ai commencé à avoir peur, c'est quand j'ai vu que, dès le lendemain de l'envoi, les douanes de Shanghai s'occupaient de mon colis. Au moins, Gigi aura vu le monde avant d'atterrir chez moi. (Je n'ai jamais mis l'ombre d'un orteil à Shanghai. Est-ce qu'il faut que je soie jalouse d'un objet ?)

color_kolndomCologne est à nouveau intervenue dans l'affaire et là, surprise ! Deux jours après, les choses se précisaient : Gigi était arrivée tout près de chez moi. Merci, le bureau de Cologne.

Mais il y avait loin de la coupe aux lèvres.

Il est temps que je vous livre quelques informations personnelles : chez moi, il y a un interphone ET un gardien. Je comptais sur ledit gardien pour me garder mon cadeau au chaud, mais manque de bol : il était en vacances, ce feignant, le brave homme.

Le jour de son arrivée, le livreur a été embêté : il ne connaissait pas le numéro de mon bâtiment. Il aurait suffi d'un coup de téléphone pour que je le renseigne (oui, la société était en possession de mon numéro de téléphone), mais au lieu de cela, il est revenu au centre en disant qu'il y avait un problème.

Et là, au lieu de me téléphoner, devinez ce qu'il a fait, le centre tout à côté de chez moi ?
Il m'a envoyé une carte postale.
Une carte postale. A lcolis'ère du mail et du 3G+.

Pire encore : avant même que je reçoive la carte en question, le livreur, dans un excès de zèle, est revenu chez moi pour me serrer la pince. Peut-être qu'il espérait que j'avais pris des vacances juste ce jour là ? En tout cas, il est encore revenu bredouille : une fois de plus, petite fourmi obstinée, j'étais au boulot.

J'ai enfin reçu la petite carte, qui m'invitait à contacter la société pour qu'on résolve enfin le problème. Il était temps, je n'aurais pas voulu que le livreur finît encore transi de froid devant ma porte close. Toujours est-il qu'il s'est avéré rapidement que les livraisons ne se faisaient qu'aux heures de bureau. J'avais donc le choix entre me faire livrer au travail ou attendre le retour de vacances de mon gardien.

J'aime autant vous dire que la réceptionniste a été sacrément briefée. J'allais recevoir un colis perso tel jour. Surtout, merci de me le donner à moi. Oui, c'est perso. Non, je ne veux pas que ça tombe entre les mains de mon n+2, il pourrait mal le prendre. Merci. Et ça serait bien aussi que tu me préviennes quand ça arrive, comme ça la secrétaire générale, cette vieille bique acariâtre, que mille anges chantent sur son passage, ne risque pas de me demander ce qu'il en est.
Moi, parano ? Jamais.

Et cette fois, ça a marché.

26 septembre 2008

Flash d'information

Ce blog a déménagé et se trouve désormais à la page "Du Soleil au coeur".

La catégorie "Les hommes et les femmes" parle des rapports entre les deux sexes.

Vous pouvez lire et commenter l'article ci-dessous "Flash d'information" sur cette page.

Voici l'article original :


On accuse parfois les femmes de trop chercher le Prince Charmant, ou les hommes la Princesse Charmante. De manière générale, certaines personnes d'être si intransigeants dans la recherche d'un partenaire qu'elles ont du mal à trouver réellement chaussure à leur pied dans le monde réel où, comme on le sait, personne n'est parfait (sauf moi, mais bon, il y a des exceptions à toutes les règles).

Ce n'est pas vrai. Certains hommes ne sont pas si exigeants.

Ralphy évoquait récemment une annonce pour mariage international qu'il jugeait trop brève : "Cherche femme pour mariage". Point final. Et d'ironiser sur l'intéressé, trop pressé pour avoir jugé utile de mentionner une quelconque qualité souhaitée pour sa promise.

Cela dit, en voilà un au moins qui n'aura que des bonnes surprises.

Cela nous rappelle aussi que tout le monde n'a pas la même conception du mariage. Ralphy, sous ses dehors de pervers obsédé notoire (il serait gynotikolobomassophile)  psychorigide (il ne supporte pas les boucles d'oreille), semble d'un sentimentalisme exacerbé et d'une naïveté confondante.

Qui a dit, en effet, que celui qui cherche à se marier a en vue l'âme soeur parée de toutes les qualités ? Hmm ?

Qui a dit que l'intéressé ne cherchait pas avant tout un statut (pour gagner un prêt immobilier ou une nationalité, l'estime de sa mère, dissimuler son homosexualité, voire fonder une famille, sans autre prétention qualitative) ? Et qui sommes-nous pour juger que c'est illégitime, tout ça?slide25

Vous savez qu'on m'a fait lire toute petite (et qu'on fait peut-être encore lire à des enfants) un ouvrage où l'un des personnages s'exprime ainsi : "Au fond, toutes les femmes sont les mêmes. Heureux qui épouse un joli visage et un large douaire" ! (*). Bon, entendu, on trouvera difficilement une femme qui serait d'accord avec ce gros rétrograde. Mais c'est juste pour dire que la conception de tout ça dépend aussi des cultures.

Il y a eu des époques et des endroits où se marier, ça  n'avait rien à avoir avec une quête sentimentale. mais était plutôt un moyen de s'enrichir (dot, terres), ou un devoir civique (histoire de fournir au pays de la chair fraîche pour la guerre de nouveaux citoyens). J'en passe sûrement. Si quelqu'un dans la salle a un minimum de connaissances en histoire ou en sociologie, elle  (**) saurait certainement me dire si ces cas là sont même plutôt la majorité, comme je le soupçonne.

Je peux me tromper, mais il me semble que dans certaines cultures, ici et maintenant, non seulement le mariage est une norme sociale et un rite de passage quasi obligatoire, mais c'est aussi... le seul moyen d'avoir une vie sexuelle.

Pour résumer, j'aurais donc tendance à traduire l'annonce relevée par Ralphy en quelque chose comme  : "Je veux du sexe, et d'après ce que je comprends, il faut se marier pour en avoir. Je voudrais une femme. Je ne m'inquiète pas trop pour la suite puisque tout le monde fait pareil" (je vous épargne les avantages pratico/ménagers susceptibles de se trouver en filigrane de cette recherche).

Désolée de le faire tomber de son petit nuage !

(*) Les derniers jours de Pompéi, de Edward Bulwer-Lytton. La citation est de mémoire.

(**) Le genre est féministe pour me faire pardonner la citation macho de tout à l'heure. Et puis, vous pensez que ça se trouve sous le pas d'un cheval, vous, des garçons étudiants en histoire ou en socio ?

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25 septembre 2008

....la beauté des montagnes, des glaciers qui les couvrent (*) ?

cartland"Madame Cinn, permettez-moi de vous dire que vous embellissez avec l'âge".

Dixit mon chef. Oui, le même qui avait remarqué mon nouveau chapeau l'an dernier. En plus, ça a l'air désintéressé.
Décidément, il est adorable.

En plus, à ce rythme, je devrais être carrément canon à 90 ans.




(*) Bénabar : "La coquette" in "les risques du métier"

24 septembre 2008

Lelo

Ce blog a déménagé et s'appelle désormais Du Soleil au Coeur.

L'article ci-dessous, qui parle d'un essai de sex toy,  peut désormais être lu et commenté sur la page "Lelo".

Vous pourrez aussi y lire la suite : j'ai attendu le sex toy, puis publié une sorte de compte-rendu de l'essai du Gigi de Lelo.

Ces articles se trouvent dans la catégorie "Joujoux et doudous", qui parle des téléphones, ordinateurs et autres doudous électroniques.

Voici l'article original :


D'habitude, les billets de ce blog sont empreints d'un bon goût extrême, d'une discrétion exquise qui montre que la maîtresse des lieux tient un voile de pudeur sur sa vie privée, ce qui ne l'empêche pas d'être une sacrée bonnasse dans son genre (enfin, peut-être). Mais attention les oreilles, attention les yeux, éloignez les âmes sensibles, aujourd'hui, on va parler de sexe.

De sex toys en particulier.

Il y a quelque temps, Ralphy, des Perles du Chat, m'a fait une proposition indécente. Il avait été contacté par une société dont j'ignorais le nom, Lelo. Ana, de ladite société Lelo, recherchait une "collaboratrice" des Perles qui aurait été prête à écrire un petit article de compte-rendu sur l'un de leurs produits. En échange de quoi, évidemment, la personne en question conserverait ledit article.

Je n'y connais quasiment rien en sex toys, mais comment ne pas être tentée ?

Me voilà donc lâchée sur la vitrine de Lelo, avec pour mission de choisir l'objet de mon test.

MIA_front_pageBon sang de bonsoir. C'est super dur.

Avez-vous déjà imaginé ce que c'est d'être un enfant lâché dans un magasin de jouets, mais qui ne peut en choisir qu'un (bien entendu, sans avoir pu jouer avec les autres) ?  Ils sont super jolis ces jouets, rose et blanc ou noirs, lisses, dans leurs jolies boîtes. Certains ont de faux airs de pierre de massage, un autre une tête en forme de bourgeon, un autre se déguise en bâton de rouge à lèvres. Il y a des boules de geisha qui ont de faux airs de lunettes d'aviateur. Le plus cher est plaqué or 18K.

Il m'a fallu plusieurs jours pour me décider.  J'ai choisi Gigi, censé être un spécialiste du point G de ces dames. J'attends la réponse de Ana et l'arrivée du paquet.

C'est comme attendre le passage du Père Noël.

11 septembre 2008

Parisienne d'un jour, deuxième

Ce blog a déménagé, il s'appelle désormais "Du soleil au Coeur".

Vous pouvez retrouver cet article à la page "Parisienne d'un jour, deuxième".

La catégorie "bouger" a été conservée, pour ceux qui s'intéressent à un peu de sport !


Voici l'article original de cette page :








  • J'aurais voulu amener mes demi-clones me voir courir la Parisienne, mais j'avais changé d'avis en voyant le temps très gris. Je l'ai regretté, puisqu'il n'a pas pluParcours_2008.
  • Mon entraînement avait été interrompu cet été par une dizaine de jours de vilaine crève.
  • J'ai pris le départ de la course en sentant déjà un gros coup de pompe (!).
  • La course a été dure, surtout ce moment où on voit le panneau "6km", que la course est censée faire 6 km et que la ligne d'arrivée n'est même pas en vue (mais à environ 300m). Les monstres.
  • J'ai dû m'arrêter deux fois pour refaire mon lacet.
  • Je crois que le chrono m'a carottée d'une ou deux minutes à l'arrivée (on dirait qu'il y a eu des bugs au niveau de l'enregistrement des puces, je ne suis pas la seule à avoir eu un temps bizarre);

.....Et pourtant j'ai fait le meilleur temps de l'équipe à mon travail (ce qui me vaut une étiquette de grande sportive pour quelques jours au moins).

Et aussi, j'RunningShoesai amélioré mon classement relatif par rapport à l'année dernière.

Décidément, je suis fièèèère.

Seul point noir : Lex est de moins en moins souvent là pour prendre la relève avec les enfants, et maintenant qu'ils sont revenus de vacances, je ne pourrai plus m'entraîner. Ou alors une fois par mois, ce qui ne suffit pas pour espérer finir une autre course.

La course à pied, c'est fini pour moi, pour un moment du moins.

Moins fière, tout d'un coup, là.

8 septembre 2008

Je n'aime pas les gens sympa

Ce blog a déménagé et s'appelle désormais Du Soleil au Coeur.


Cet article peut désormais être lu et commenté sur la page intitulée "Je n'aime pas les gens sympa".


J'ai conservé la catégorie "Objection!" et celle consacrée aux rapports entre homme et femme en général.

Voici l'article original :


Ralphy brossait récemment le portrait d'un "type sympa :" (titre autodécerné) : un garçon qui doit se marier prochainement et dont la fiancée, enceinte, était donc "hors d'usage" (sic). Il en profitait pour passer des annonces sur son blog afin de pouvoir tout de même "se calmer" (sic) :

- une première annonce destinée à une femme hétérosexuelle, et qui ne jugerait pas les gens selon leur couleur, taille, physique, statut social, ou la taille de leur sexe. (là, si on lit un peu entre les lignes, on  doit avoir le portrait de l'auteur, nan?),

- une seconde, destinée aux couples hétéros, en vue d'un plan à trois, sur le même principe.

- une troisième, destinée à deux copines, ou deux femmes seules qui ne se connaissent pas. Mais ne vous inquiétez pas, hein, on n'est pas des bêtes, on causera quand même un peu avant.

....................

Bon, je n'ai pas tout lu, peut-être que sa chérie lit son blog et est d'accord pour tout ça, il faut de tout pour faire un monde,
....mais si ce n'est pas le cas, je le trouve moyennement fréquentable, ce garçon.

C'est surtout sur un détail que je rebondis. Le "sympa".

C'est bizarre, ce terme "sympa" ("cordial; joli, agréable; qui attire la sympathie ; sympathie : penchant instinctif qui attire les personnes les unes vers les autres, ou bien accord avec le sentiment d'autrui, pouvoir que nous avons de participer aux peines et aux plaisirs les uns des autres" selon le Wiktionnaire). Quand je le dis de quelqu'un d'autre (en général précédé d'un "vraiment" ou "très" sobre, mais éloquent), ça veut dire que mon appréciation globale de la personne que je viens de rencontrer est incontestablement positive, que j'ai un aperçu de certaines qualités de la personne, que j'éprouve une estime appréciable à son égard, et le cas échéant que je souhaite vivement la connaître.

Et pourtant, je n'aime en général pas les gens "sympa". J'entends par là, les gens qui se déclarent sympa tout seuls comme des grands.

Pour se décerner le titre de sympa, nul besoin de vertus au sens classique. Nul besoin de posséder bravoure, honneur, tempérance, justice, discipline, honnêteté (je choisis exprès les plus has-been), bref, des qualités précises. C'est vraiment très commode ce mot là. Je vous explique le principe : Il vous suffit d'avoir un ou plusieurs échange(s) avec un ou plusieurs ami(s), ou connaissance(s), ou éventuellement commerçants, guichetiers ou livreurs, échanges que vous trouverez plutôt agréables. Si vous allez très loin dans la réflexion, vous en venez même à vous dire que si ça se trouve, votre (vos) interlocuteur(s) apprécient eux aussi, de leur côté, ces échanges.

Ca y est, vous avez gagné. Vous êtes un type sympa. Vous n'avez plus à vous soucier d'une quelconque cohérence entre vos actes, vous n'avez plus à avoir de doutes sur votre valeur personnelle. La vie est belle. Vous pouvez même vous lancer sur Meatix, si vous le souhaitez.

(C'est un détail, mais le garçon sympa n'a pas eu de réponses à son annonce. On peut être sympa et avoir un karma pourri.).

5 septembre 2008

J'veux un Mac

Est-ce cet avertissement dans Itunes "vous n'avez plus assez de mémoire pour enregistrer cette chanson, veuillez virer quelques fichiers" ? Enfin, quelque chose d'approchant.

....Picasa qui m'avertit aussi qu'il ne peut plus fonctionner "de manière optimale" avec le peu de mémoire qui reste ?

.....MSN qui marche encore mais dans la version 7.0 seulement ? (Visiblement, c'est la seule compatible avec ma version de Windows).

.....Est-ce le jeune type qui joue le rôle du Mac, tout mignon, tranquille et positif, dans les pubs "Getamac" ?

.....Est-ce que ce sont certains membres de mon entourage, jouant sans scrupule sous mon nez, avec une  aisance insolente, avec leurs joujous, tous dénommés Mactruc ou Ibidule?

Je succombe au lavage de cerveau. Je veux un nouvel ordi, et plus précisément un Mac. Il paraît que des nouveaux vont sortir à la rentrée. On a parlé de juin, puis de juillet, puis de septembre, et maintenant de décembre. En tout cas, malgré sa bravitude, mon vieux coucou a fait son temps. J'attendrai ce qu'il faut pour pouvoir crâner un tout petit peu avec mon nouveau joujou, moi aussi. Enfin, pendant un mois ou deux, s'entend, les choses évoluent vite avec ces doudous là.

En attendant, c'est le système D. J'ai dérivé le fichier de téléchargement par défaut de mon navigateur sur mon tout nouveau disque dur externe, devenu espace de stockage et non de sauvegarde (pour que ça soit une sauvegarde, il m'en faudrait un deuxième). A chaque fois que j'ai besoin d'installer quelque chose sur le disque existant, je fais un peu de ménage avant. Bref, c'est la pénurie.

J'attendrai.

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